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Cancer du sein : des chercheurs du GeM participent au développement d'un organe sur puce grâce à la biofabrication
Le sein est en première place en termes d'incidence du cancer. Le mode de vie et de l'environnement sont aujourd'hui considérés comme des facteurs d'incidence sur le cancer
le 15 décembre 2021
Avec l'augmentation de l'incidence du cancer du sein chez les femmes plus jeunes, il est devenu urgent de découvrir comment réduire le niveau de risque, notamment à la lumière des signatures agressives de ces cancers.
À travers ce projet, Luciano Vidal et Jean-Yves Hascoët, chercheurs à l'Institut de Recherche en Génie Civil et Mécanique (GeM), souhaitent développer un organe sur puce (Organ on Chip) grâce à la biofabrication pour l'étude de ces facteurs de risque.
Ce projet à impact national et international regroupe les institutions participantes telles que l'Institut de Cancérologie de l'Ouest, l'Inserm, et Centrale Nantes. Il est financé dans le cadre d’un appel à projets de l'Institut National du CAncer (INCa) sur les effets synergétiques des facteurs de risque de cancer sur l’épigénome du tissu mammaire.
Il est porté par Sophie Lelièvre, Professor Emerita of Cancer Pharmacology à Purdue University et aussi Senior Scientist, du département de la Direction Scientifique de la Recherche translationnelle de l’Institut de Cancérologie de l’Ouest et qui a 25 ans d’expérience dans le domaine de la recherche sur le cancer du sein.
À travers ce projet, Luciano Vidal et Jean-Yves Hascoët, chercheurs à l'Institut de Recherche en Génie Civil et Mécanique (GeM), souhaitent développer un organe sur puce (Organ on Chip) grâce à la biofabrication pour l'étude de ces facteurs de risque.
Ce projet à impact national et international regroupe les institutions participantes telles que l'Institut de Cancérologie de l'Ouest, l'Inserm, et Centrale Nantes. Il est financé dans le cadre d’un appel à projets de l'Institut National du CAncer (INCa) sur les effets synergétiques des facteurs de risque de cancer sur l’épigénome du tissu mammaire.
Il est porté par Sophie Lelièvre, Professor Emerita of Cancer Pharmacology à Purdue University et aussi Senior Scientist, du département de la Direction Scientifique de la Recherche translationnelle de l’Institut de Cancérologie de l’Ouest et qui a 25 ans d’expérience dans le domaine de la recherche sur le cancer du sein.