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Greenov, start-up accompagnée par l’Incubateur Centrale-Audencia-Ensa, reçoit 2,39M€ pour démontrer son système d’atténuation du Bruit sous-marin « SubSea Quieter © »
Greenov, start-up nantaise à mission accompagnée par l’Incubateur Centrale-Audencia-Ensa à
Nantes, a été sélectionnée début novembre par le programme ultra-sélectif « Accelerator » de
l’European Innovation Council (EIC). À la clef, un soutien de 2,39M€ en subvention et une
potentielle entrée au capital de la société à hauteur de 2,5M€ en 2024.
le 9 décembre 2022
Le projet de membrane acoustique SubSea Quieter© vise à confiner les bruits sous-marins ainsi que la turbidité générés par les travaux portuaires, côtiers et par les installations des fondations des éoliennes en mer par battage de pieux et par forage.
Proposé par la startup nantaise intégrée à l’Incubateur Centrale - Audencia - Ensa, il compte désormais un soutien européen de poids. En rejoignant le programme “Accelerator” de l’EIC, Greenov pourra finaliser la démonstration d’une version du SubSea Quieter© adaptée à des monopieux d’éoliennes de 12 m de diamètre sur un chantier réel en mer, avant le lancement commercial de la technologie en 2025.
SubSea Quieter© permet de protéger l’ensemble des écosystèmes maritimes dont les cétacés, les phoques, les marsouins et les poissons. De nombreuses études scientifiques ont en effet démontré que les travaux maritimes, dont les bruyants battages de pieux, génèrent un niveau de bruit élevé qui est responsable de graves dommages – pouvant aller jusqu’à la mort — pour l’ensemble des espèces animales marines présentes. Et ceci, sur de larges zones.
Le projet SubSea Quieter© de Greenov constitue ainsi une solution pour accompagner le développement des Énergies Marines Renouvelables sur le chemin de la décarbonatation de l'économie et de l’indépendance énergétique européenne.
Cet accompagnement financier permettra d’engager de nombreux acteurs industriels particulièrement soucieux d’innover pour les océans - comme Bouygues TP, EQUINOR, EDF EN et la société Éolienne en Mer – et de nombreux laboratoires d’excellence comme ceux de Centrale Nantes, de l’ENSTA de Bretagne, de l’Université Gustave Eiffel et du CNRS.
Il sera également générateur d’emplois à haute technicité en France et en Europe où 100 % du système est conçu et fabriqué par des partenaires engagés pour les océans.
► Télécharger le communiqué de presse
Proposé par la startup nantaise intégrée à l’Incubateur Centrale - Audencia - Ensa, il compte désormais un soutien européen de poids. En rejoignant le programme “Accelerator” de l’EIC, Greenov pourra finaliser la démonstration d’une version du SubSea Quieter© adaptée à des monopieux d’éoliennes de 12 m de diamètre sur un chantier réel en mer, avant le lancement commercial de la technologie en 2025.
SubSea Quieter© permet de protéger l’ensemble des écosystèmes maritimes dont les cétacés, les phoques, les marsouins et les poissons. De nombreuses études scientifiques ont en effet démontré que les travaux maritimes, dont les bruyants battages de pieux, génèrent un niveau de bruit élevé qui est responsable de graves dommages – pouvant aller jusqu’à la mort — pour l’ensemble des espèces animales marines présentes. Et ceci, sur de larges zones.
Le projet SubSea Quieter© de Greenov constitue ainsi une solution pour accompagner le développement des Énergies Marines Renouvelables sur le chemin de la décarbonatation de l'économie et de l’indépendance énergétique européenne.
L’EIC Accelerator
SubSea Quieter © a été sélectionné parmi plus de 1000 projets à l’issue d’un an d’un processus très exigeant, constitue une reconnaissance de premier plan du potentiel économique et environnemental de cette start-up DEEPTECH au niveau Européen et mondial.Cet accompagnement financier permettra d’engager de nombreux acteurs industriels particulièrement soucieux d’innover pour les océans - comme Bouygues TP, EQUINOR, EDF EN et la société Éolienne en Mer – et de nombreux laboratoires d’excellence comme ceux de Centrale Nantes, de l’ENSTA de Bretagne, de l’Université Gustave Eiffel et du CNRS.
Il sera également générateur d’emplois à haute technicité en France et en Europe où 100 % du système est conçu et fabriqué par des partenaires engagés pour les océans.
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