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Premiers tests en bioprinting
Après l'arrivée en mai dernier de la machine dédiée au biopinting sur le campus de Centrale Nantes, les premiers tests commencent.
le 25 novembre 2016
*L'Itun a pour vocation le développement de l'activité de recherche, en y associant étroitement ses deux autres missions, soin et enseignement. L'Itun, qui rassemble plus de 300 personnes, est aujourd'hui l'un des premiers centres européens de greffe de rein (5000ème transplantation atteinte en 2015), l'un des premiers centres français de double greffe rein-pancréas et figure parmi les leaders européens de greffes de pancréas. Cet institut a réalisé régulièrement des « premières » cliniques, en particulier dans le domaine de l'immunointervention. Basé sur cette culture en Immmunothérapie, l'IHU CESTI (Institut Hospitalo-Universitaire, Centre Européen des Sciences de Transplantation et Immunothérapies) s'attache à étendre cette expertise de transplantation aux autres thérapies innovantes, engageant une réponse immune, que sont les thérapies cellulaires et géniques.
De g. à dr. : P. Chichiricco, F. Halary, B. Rosa, J.-Y. Hascoët
Centrale Nantes fait partie des établissements d'enseignement supérieur précurseurs dans le domaine du bioprinting, domaine dans lequel l'école travaille en étroite collaboration avec le CHU de Nantes et l'Inserm. Signifiant littéralement « impression de vivant », il s'agit d'une technologie qui consiste à imprimer des tissus vivants par des approches d'impression 3D.
La machine, conçue à Centrale Nantes, est aujourd'hui finalisée. Il s'agit maintenant de faire les premiers essais avec les seringues : tests de viscosité, tailles des aiguilles, débit, pression... Les questions d'ingénierie prennent à ce stade une importance capitale : il faut trouver le compromis avec le bon composant pour pouvoir déposer de la matière de manière précise et sans abîmer les cellules. Des tests avec du collagène vont être effectués. Les cellules seront ensuite incorporées dans ce collagène.
Une équipe travaille sur ces tests :
Jean-Yves HASCOËT, Directeur de la Recherche à Centrale Nantes
Benoît ROSA, Chargé de recherche à Centrale Nantes
Pauline CHICHIRICCO, doctorante au LIOAD (Laboratoire d'Ingénierie Ostéo-Articulaire et Dentaire), Inserm
Franck HALARY, Chercheur à l'ITUN*, Inserm
Centrale Nantes fait partie des établissements d'enseignement supérieur précurseurs dans le domaine du bioprinting, domaine dans lequel l'école travaille en étroite collaboration avec le CHU de Nantes et l'Inserm. Signifiant littéralement « impression de vivant », il s'agit d'une technologie qui consiste à imprimer des tissus vivants par des approches d'impression 3D.
La machine, conçue à Centrale Nantes, est aujourd'hui finalisée. Il s'agit maintenant de faire les premiers essais avec les seringues : tests de viscosité, tailles des aiguilles, débit, pression... Les questions d'ingénierie prennent à ce stade une importance capitale : il faut trouver le compromis avec le bon composant pour pouvoir déposer de la matière de manière précise et sans abîmer les cellules. Des tests avec du collagène vont être effectués. Les cellules seront ensuite incorporées dans ce collagène.
Une équipe travaille sur ces tests :
Jean-Yves HASCOËT, Directeur de la Recherche à Centrale Nantes
Benoît ROSA, Chargé de recherche à Centrale Nantes
Pauline CHICHIRICCO, doctorante au LIOAD (Laboratoire d'Ingénierie Ostéo-Articulaire et Dentaire), Inserm
Franck HALARY, Chercheur à l'ITUN*, Inserm
